«Jadis, effacée, allergique aux flashs et autres caméras des médias et plongé dans une discrétion à toute épreuve, la première dame Marième Faye Sall est, de plus en plus, au devant de la scène». C’est du moins, le constat de SourceA.
Selon le canard de Castors/Bourguiba, la bonne Dame qui se faisait de plus en plus désirer dans les cérémonies festives, où le folklore coule à gogo, jusqu’à un passé encore récent, ne cesse aujourd’hui d’inscrire son nom au chapitre des inédits. Le tout teinté d’un trop-plein de présence dans la vie de ses compatriotes.
Le dernier épisode en date, selon nos confrères, est, incontestablement, le diné de gala qu’elle a initié et auquel elle a, récemment, convié les épouses des chefs d’Etat mauritanien, nigérien et malien.
Aujourd’hui, selon SourceA, certains ne la reconnaissent plus et se perdent dans des conjectures, à force de comparer la Marième Faye Sall du début du Magistère de son époux et la Marième Faye Sall des temps modernes. Commentaire d’une dame sous le couvert de l’anonymat, dans les colonnes dudit canard : «aujourd’hui, la seule chose qui me plait chez Marième Faye Sall, c’est incontestablement sa façon de nouer son foulard de tête et ses grands-boubous. A part ses deux choses-là, la première Dame ne me dit plus rien».
Le professeur d’Histoire et de Géographie, Laye Séne lui estime : «avant l’accession de Macky Sall à la Magistrature suprême, Marième Faye Sall n’était pas dans cette logique de faire des largesses de cette nature…D’où est ce que vient tout cette argent à votre avis ? Il est clair que c’est l’argent du contribuable, les impôts des pauvres sénégalais, des paysans et des “goorgoorlou” (débrouillards)». Pour le professeur, “la presse, quatrième pouvoir doit dénoncer ce genre de pratique”.
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