Il est, en fin de compte, facile de s’opposer, pour nous autres ‘’sunugaliens’’. Il en est de même, lorsqu’on veut se faire une place dans une société civile qui est en perte de vitesse. Il suffit de verser dans le populisme. En fait, la tasse de thé préférée, c’est de critiquer le système et ses représentants, comme une véritable tête brûlée.
Peu importe, si nous distillons parfois des contrevérités. Même s’il y a certains qui risquent de nous démentir, ce sera notre parole contre la leur. Si les choses s’enveniment, nous pourrons toujours crier à l’intimidation d’honnêtes citoyens, soucieux du bien-être de leurs populations. Et, ça marche à tous les coups. L’essentiel, c’est de faire croire au peuple que l’on est de son côté.
Mais quoi de plus attendu, dans ce merveilleux pays, où, les gars, pour accéder au Pouvoir, peuvent promettre 25 ministres, des robinets qui font couler du ‘’maafé’’, une Crei qui traque nos pilleurs, mais qui s’essouffle, après juste quelques kilomètres parcourus ?
Maam Sagar (Billet SourceA)