Visiblement, le président de la République semble plus que jamais déterminé à quitter le pouvoir. Pour preuve, dans son discours de clôture, il insiste : trouvons un consensus. A défaut, le 2 avril, j’adresse une lettre au Conseil constitutionnel pour décider de mon successeur intérimaire. Car, j’en ai assez ! Yakamtinna dem sama yoon. Et le cas échéant, le pays sera en paix.» En outre, il a réitéré son souhait de voir les députés de la majorité, et de l’opposition, voter la loi d’amnistie générale en faveur des détenus arrêtés dans le cadre des manifestations politiques depuis de 2021 à 2023.
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