Aminata Touré et Ousmane Sonko feraient mieux de répondre positivement à l’appel au dialogue lancé par le chef de l’Etat. Sinon ils seront les plus grands perdants. C’est du moins la conviction de Maodo Malick Mbaye. Face à la presse, ce mardi avec le task force républicaine, le responsable thiéssois a, aussi, rappelé «qu’en 1992, n’eût été l’appel du président Abdou Diouf, il n’y aurait jamais de code consensuel mais n’eût été aussi la maturité de l’opposition d’alors à comprendre que les choses ne se règlent pas dans la rue, les concessions ne se règlent pas dans la rue, ils ont accepté et c’est à partir de ça qu’on a eu un code consensuel».