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Mise en place d’une confédération africaine : Me Diagne vice-president du comité national de gestion des courses hippiques parle des objectifs

Au Mali ils avaient commencé les discussions, ces amoureux du cheval vous poursuivre les débats sur la mise en place d’une confédération ouest-africaine des courses hippiques. Des responsables du Sénégal, le Mali, le Burkina, le Niger, le Nigeria se rencontrent à Dakar les 17, 18 et 19 mai à l’occasion de cette 13e édition du grand prix de la renaissance africaine. Cette 13e édition du grand prix de la renaissance africaine a un cachet particulier cette année d’après Me Souleymane Diagne, vice-président du comité national des courses hippiques chargé des affaires juridiques.

« Nous allons vers la création d’une confédération ouest-africaine de Galop et Sports Équestres Le Sénégal, le Mali et le Niger ont posé les premiers jalons de la création d’une Fédération ouest-africaine de Galop et Sports Équestres », a-t-il indiqué. De son avis l’objectif n’est autre que « d’harmoniser les règles des différents pays sur l’élevage, les courses et les paris ; la prise de paris en masse commune au niveau international en rapprochant les doctrines pour le jugement des incidents de courses et une harmonisation l’ensemble des réglementations applicables le jour des courses ; le bien-être des jockeys, des chevaux et de tous les acteurs de la filière équine, la confiance du public et des parieurs.  Mais aussi il sera question de la facilitation du mouvement des chevaux entre les pays ; l’encouragement du développement des courses ; l’élaboration d’un règlement commun applicable à tous ; le développement de la communication entre les membres ; le développement des compétitions internationales par un contrôle de qualité pour les courses classées à l’échelle continentale ou à tout le moins sous régionale comme ceux de l’Union africaine, de la Renaissance africaine ou de la CEDEAO… »

Me Diagne poursuit : « Ces acteurs ont de pays de courses hippiques comme exemple : la France où l’industrie du cheval rapporte. La doctrine et la réglementation sont prises en compte. Cette instance sera une structure de liaison Afrique au sud du Sahara, Maghreb Afrique Australe, Afrique de l’Est et plus tard Europe. Non sans s’étoffer de l’existence de la Fédération africaine de Galop en considération des réalités continentales actuelles au-delà de l’Afrique avec les pays de l’Europe, et pourquoi pas avec ceux de l’Amérique du Sud réunis autour de l’OSAF et ceux de la Conférence des courses asiatiques »

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