Cheikh Yerim Seck a confié, en début de semaine, que l’une des maisons qui a été incendiée à Ngor, lors des manifestations des populations qui s’opposent à l’érection d’une Brigade de la gendarmerie lui appartient. Mais « SourceA » qui a relaté cette affaire dans sa parution de ce vendredi, révèle que le domicile en question n’est plus la propriété du journaliste, puisqu’il a été saisi par la Bimao qui l’a vendu à un tiers. A en croire le journal, quand l’heure de payer une créance de plus de 90 millions F Cfaa sonné, l’ancien journaliste de Jeune Afrique n’a pas honoré ses engagements.
Actusen.sn