Après la fête, c’est la défaite. Les jeunes arrêtés pour leur partie de jambes en l’air collective, le jour de la Korité et Rangou manquent vraiment de chance, en cette période favorable à la libération des détenus pour dépeupler les prisons. Les meilleurs avocats de Ndoumbélane n’ont pas de temps pour les défendre, car ils sont trop occupés à régler l’affaire des faux billets du député de l’Armée mexicaine au Pouvoir et à justifier les décisions de «Thiompal» sur les réseaux sociaux, Whatsapp et dans les médias.
Heureusement que ces avocats de «Mor Ndajee» n’ont ni convictions politiques, ni vergogne. Ils peuvent plaider une cause, aujourd’hui, et la contester demain, et vice versa. Tout dépend des humeurs de «Waccacca», qui, avec sa gestion calamiteuse du coronavirus, leur donne du pain sur la planche.
Toujours avec des arguments tirés par les cheveux, ils essaient, lamentablement, de faire avaler à qui veut les entendre que les décisions sur la réouverture des lieux de culte, la volte-face sur la reprise des cours et l’assouplissement du transport interurbain et le couvre-feu sont pris de gaieté de cœur et sans pression par « Buur Sine ». Qui, bizarrement, n’écoute plus le Comité national de gestion des épidémies (Cnge) mais plutôt le peuple, quand il s’agit de prendre des mesures.
Mama Sagaar (Billet SourceA)