Dans un communiqué, la Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a expliqué que certains des incidents impliquant des massacres et d’autres exactions et violations pourraient constituer des crimes contre l’humanité ou des crimes de guerre. L’ONU évoque aussi plus de 510 000 déplacés par les violences dans le Nord et Sud-Kivu en neuf mois.