Il s’agit d’une pilule dure, très dure à avaler. Il s’agit de la mort dans des conditions non-encore élucidées du mannequin Maty Mbodj.
La preuve par la sortie, dans les colonnes du journal L’Observateur, de la soeur-cadette de la victime. Pour Arame Mbodj, « le plus dur, c’est de ne pas savoir ce qui a emporté Maty Mbodj ».
Convaincue que la victime était une bonne personne et il ne faut pas que l’on retienne une droguée, comme on l’a dépeinte, Arame Mbodj estime que « le temps passe, mais n’efface notre souffrance. Il arrive à ma mère de craquer ».
Pour autant, croit-elle savoir, l’affaire est toujours pendante, et la procédure suivra son cours. Les deux personnes arrêtées dans cette affaire, ont été libérées en fin de semaine.
Actusen.com