L’ancien dictateur gambien est loin d’avoir vu le bout du tunnel, et pour cause. Moins de vingt-quatre heures après son départ de la tête de son pays, son successeur Adama Barrow déclare à qui veut l’entendre n’avoir pris aucune garantie visant à lui offrir une quelconque amnistie.
Dans une interview accordée au Groupe Futurs Médias (GFM), le nouvel homme fort de Banjul explique que seule la mise en place d’une Commission chargée d’étudier ce que son prédécesseur a fait ou n’a pas fait, durant les 22 ans qu’il a passés au Pouvoir.
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