Les 312 policiers adjoints volontaires (PAV) libérés le 28 mars dernier par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique avaient été recrutés sur “des bases politiques”, lors des derniers événements politiques. Selon le Premier ministre, certes les contrats de la première cohorte des PAV de la septième génération ont expiré, mais leur libération a davantage été précipitée par leur hiérarchie. «Ces policiers ont été recrutés sur des bases politiques. Certains d’entre eux ne pouvaient même pas écrire leur nom. Mais ce n’est pas l’autorité politique qui a pris cette décision. C’est leur propre hiérarchie qui a fait la proposition en soulignant que ces personnes ne remplissaient pas les critères requis pour intégrer la Police nationale», a-t-il révélé.
Amadou DIA (Actusen.sn)