Les États-Unis, l’Union européenne et le G7 ont adopté des sanctions pour condamner les violentes répressions du régime à l’encontre des manifestants, qui étaient toujours massivement mobilisés en Birmanie, mardi, contre le coup d’État du 1er février.
Les généraux n’ont pas cessé d’intensifier le recours à la force afin d’affaiblir la mobilisation en faveur de la démocratie en Birmanie, où des centaines de milliers de personnes continuent de manifester.
Un mouvement de contestation qui s’est poursuivi mardi, même si à Rangoun, la principale ville et la capitale économique, il a été d’une ampleur moindre que les jours précédents.
France24