La mort de la fillette, Aïcha Diallo, décédée lundi, à l’hôpital de Pikine pour faute de prise en charge estimée à 200 000 francs Cfa, anime toujours les débats. Après la convocation du Directeur dudit établissement sanitaire par les autorités du Ministère de la Santé et de l’Action sociale, les travailleurs ont, ce jeudi, tenu une conférence de presse sur la question pour dénoncer “un acharnement” dont ils s’estiment victimes.
«C’est de l’acharnement contre notre structure de santé. Nous présentons nos condoléances à la famille éplorée. Nous sommes là au chevet des malades, nuit et jour et travaillons dans des conditions pénibles», a déclaré Abdoul Dème, Porte-parole desdits travailleurs.
Pour l’heure, s’exprimant toujours au nom des salariés de l’hôpital, il soutient dans l’édition de ce 12H de la Rfm que «l’enquête suit son cours et nous préférons laisser les choses se dérouler normalement».
En attendant de lever un coin du voile de cette affaire qui défraie la chronique.
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